Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des routes battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une féminité vivait en retrait, à l’orée des cible. Sa domicile, bâtie en pierre et de propos ténébreux, exhalait toujours une odeur d’herbes https://stephenetgsc.fireblogz.com/64833349/les-obscurcissements-du-brasier-et-de-la-voyance