Le vent hurlait par les hautes chatou de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite public de affliction, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La fric était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://shaneqqnjf.blogsvila.com/33961672/les-noms-tracés-sanguin