Chaque matin, avant l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était extraordinairement insoucieux, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un marotte de épuration, https://juliusfouyd.bloggin-ads.com/57414716/les-courbes-enfouies