Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au coeur de son ateliers. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une souffle lente, une rituel parvenue d’un acte traditionnel répété à tout instant. https://rowantwyzx.jiliblog.com/90942240/les-lignes-qui-persistent